Éric Plamondon
Éric Plamondon est un écrivain québécois. Diplômé en journalisme de l'Université Laval et en littérature de l'Université du Québec à Montréal, il a rédigé plusieurs romans primés tels que Taqawan et Oyana.
Éric Plamondon en quelques mots
Né au Québec le 13 février 1969, Éric Plamondon a exploré divers secteurs professionnels avant de s’orienter vers l’écriture. Diplômé en 1992 en communication (journalisme) et en économie, il a ensuite rejoint l'Université du Québec à Montréal de 1993 à 1996, où il a complété un mémoire de maîtrise portant sur le rapport entre science et littérature dans Moby Dick d'Herman Melville. De pompiste à Donnacona à enseignant de français à l’Université de Toronto, en passant par barman sur la Grande Allée de la ville de Québec, il a multiplié les expériences. Ce n’est qu’en 2011 qu’il décide de se tourner vers la littérature avec la parution de son premier roman : Hongrie-Hollywood Express.
Les distinctions d’Éric Plamondon
Taqawan récompensé par le Prix littéraire Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur 2019-2020 ; Oyana remporte le Prix de Littérature française du festival Lire en Poche 2021 de Gradignan ; Taqawan lauréat du Grand Prix du Livre Audio 2021, catégorie Polar ; Eric Plamondon lauréat du Prix Grain de Sel 2019 pour Taqawan ; Eric Plamondon lauréat du Prix France-Québec 2018 pour Taqawan ; Eric Plamondon lauréat du Prix des Chroniqueurs Toulouse Polars du Sud pour Taqawan ; Taqawan lauréat du prix Frye Académie 2018.
Notre sélection de livres d’Éric Plamondon
Taqawan : Juin 1981, réserve indienne de Restigouche au Québec. Quatre enfants de la tribu Mi’gmaq sont les malheureux témoins d’une violente descente de la police québécoise pour limiter la pêche. C’est ainsi que débute ce petit roman par la taille mais riche dans son propos et ses réflexions. Ce texte, très documenté, nous livre d’une part l’histoire de la spoliation de la terre des Amérindiens par les colons et les enjeux liés de la réglementation de la pêche au saumon
Oyana : Une lettre de Nahua Sanchez à son mari, Xavier. Une lettre pour lui avouer que depuis plus de 23 ans d'union, elle lui cache une vérité trop lourde à porter. Non elle n'est pas l'orpheline française élevée par ses oncle et tante au Mexique. Elle est Oyana, née au Pays basque en 1973. En 1995, elle s'est trouvée mêlée à un attentat meurtrier et a dû fuir la France, laisser sa famille. En mai 2018, quand elle apprend la dissolution de l'ETA, elle décide de revenir…
Taqawan et Oyana, ont pour point commun d’être parfaitement documentés, avec des références historiques insérées entre les chapitres du roman.