
Irak - guerre - islam politique - Bagdad - occupation américaine
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NOTES DES LECTEURS
Cela pourrait être une histoire d’amour banale. Une rencontre, un coup de foudre, une approche maladroite, un flirt, un amour, des désaccords, du respect, des divergences, de l’amour.
Mais ici, rien n’est anodin. Nous sommes en Iran, l’histoire débute dans les années 70 et les deux héros sont deux hommes, de surcroit de milieux sociaux différents.
Bien sûr, cette histoire d’amour se vit sur fond de chute du Chah, de mise en place du régime de Khomeini et de guerre Iran Irak. Mais on est surtout touchés par les deux garçons, par la relation vibrante entre Djamil, le cultivé, le raisonnable, et Nadji, l’instinctif.
Évidemment ce livre est interdit en Iran. Évidemment l’auteur, Ghazi Rabihavi, a fui son pays. Et effroyablement, l’homosexualité est passible de la peine de mort.
Plus que jamais donc, une urgence à lire…
« On aurait dit qu’il savait comment cela tournerait. Il savait que ça ne finirait pas bien. Mais désormais, il occupait tout le champ de ma pensée. Il ne reprit pas le Keffieh. La nuit je l’étendais sur mon oreiller et posais ma tête dessus. Je me réveillais en pensant à lui et le soir je m’endormais en pensant encore à lui. Plus tard, il me raconta qu’il avait éprouvé la même chose pour moi. Vrai ou faux ? Cela n’avait pas grande importance. L’essentiel était qu’il l’avait dit. Pour moi, ça suffisait. Comme il suffisait que j’eusse découvert au fond de moi la force de ce fou rire. »
Amour - Iran – homosexualité – exil – révolution islamique
Des personnages extrêmement attachants – Un sens du récit replacé dans un contexte historique passionnant
Un bon moyen de réaliser la chance de vivre dans un pays démocratique…
Un bon pavé… et on se sent pourtant si triste de le quitter, ou plutôt de les quitter déjà. - Sélectionné par le jury du prix Médicis.
Ghazi Rabihavi, né en Iran en 1956, s’installe à Téhéran à l’âge de 22 ans, au moment où la révolution éclate. Dès les années 80, alors que l’Iran entre en guerre avec l’Irak, il publie ses premières nouvelles. Après une incarcération à Evin et l’interdiction de l’Association des Écrivains d’Iran, il anime des ateliers d’écriture avec Houchang Golchiri, un des chefs de file du roman persan moderne.
Sa nouvelle La Fosse suscitant la polémique, il se tourne alors vers l’écriture de scénario et collabore avec le cinéaste Ebrahim Golestan. En 1994, Rabihavi, interdit de publication, finit par s’exiler à Londres en 1995 où il partage ses activités entre le roman, le théâtre et le cinéma.
Son deuxième roman, Le Sourire de Mariam, est paru en 2022 chez Serge Safran.
20 août 2020
17 déc. 2020
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Giovanni Privitera et Safi MohammadCela pourrait être une histoire d’amour banale. Une rencontre, un coup de foudre, une approche maladroite, un flirt, un amour, des désaccords, du respect, des divergences, de l’amour.
Mais ici, rien n’est anodin. Nous sommes en Iran, l’histoire débute dans les années 70 et les deux héros sont deux hommes, de surcroit de milieux sociaux différents.
Bien sûr, cette histoire d’amour se vit sur fond de chute du Chah, de mise en place du régime de Khomeini et de guerre Iran Irak. Mais on est surtout touchés par les deux garçons, par la relation vibrante entre Djamil, le cultivé, le raisonnable, et Nadji, l’instinctif.
Évidemment ce livre est interdit en Iran. Évidemment l’auteur, Ghazi Rabihavi, a fui son pays. Et effroyablement, l’homosexualité est passible de la peine de mort.
Plus que jamais donc, une urgence à lire…
« On aurait dit qu’il savait comment cela tournerait. Il savait que ça ne finirait pas bien. Mais désormais, il occupait tout le champ de ma pensée. Il ne reprit pas le Keffieh. La nuit je l’étendais sur mon oreiller et posais ma tête dessus. Je me réveillais en pensant à lui et le soir je m’endormais en pensant encore à lui. Plus tard, il me raconta qu’il avait éprouvé la même chose pour moi. Vrai ou faux ? Cela n’avait pas grande importance. L’essentiel était qu’il l’avait dit. Pour moi, ça suffisait. Comme il suffisait que j’eusse découvert au fond de moi la force de ce fou rire. »
Amour - Iran – homosexualité – exil – révolution islamique
Des personnages extrêmement attachants – Un sens du récit replacé dans un contexte historique passionnant
Un bon moyen de réaliser la chance de vivre dans un pays démocratique…
Un bon pavé… et on se sent pourtant si triste de le quitter, ou plutôt de les quitter déjà. - Sélectionné par le jury du prix Médicis.
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