Aucun produit
NOTES DES LECTEURS
Ils se sont aimés, ils y sont (presque) arrivés, ils vont réessayer... mais cette fois, en fondant une famille ! D’un côté Désirée, la bibliothécaire cérébrale et urbaine, de l’autre Benny, l’éleveur de vaches aux plaisirs simples. Elle lit pour vivre, lui vit pour traire. Un couple improbable, et pourtant... si l’amour était bien dans le pré ?
C’est le retour de l’attachant duo du Mec de la tombe d’à côté dans une suite aussi tendre que tranchante, aussi drôle que désarmante. On suit avec délectation la vie de Désirée et Benny, ce quotidien qui les rattrape, leurs aspirations qui divergent, la vie de famille qui les envahit.
Avec son style vif, piquant, parfois désabusé, Katarina Mazetti continue de nous faire rire jaune. Car en trame de fond, des sujets sérieux sont abordés : les difficultés bien réelles et l’épuisement d’un monde paysan, les dilemmes d’une mère qui cherche à s’épanouir en tant que femme et, bien sûr, les compromis du vivre ensemble.
On s’attache, on grince, on rit et surtout, on s’y reconnaît un peu, beaucoup, passionnément. Pétillant, caustique et résolument humain, une comédie de mœurs où la famille se construit… dans tous les sens du terme !
« -Je me demande si tu m'as jamais aimée, a-t-elle reniflé quand je me suis permis quelques commentaires sur son planning ce jour-là. En tout cas, il est évident que tu ne m'aimes plus. Tu ne me vois que comme une stagiaire incapable qui serait en apprentissage chez toi.
Comment ça, « aimée », qu'est-ce qu'elle veut dire ?
Les femmes parlent d'amour et se rappellent les anniversaires de mariage et la Saint-Valentin et elles se pendent à votre cou et demandent si vous les aimez. Bengt-Göran, lui, il a acheté de nouvelles jantes à Violette et moi, putain, j'ai quand même construit la véranda !
Je crois qu'il en va de l'amour des hommes comme de l'infarctus des femmes. Il n'est jamais détecté, parce qu'il a de tout autres symptômes ! »
Amour – vie de famille – agriculteur – ironie – maternité – épanouissement – compromis de couple
Un duo qu’on adore et qui exprime tour à tour ses sentiments par la voie d’un livre choral – une vision de la maternité - un ton juste et mordant qui gratte là où ça fait mal
À lire pour celles et ceux qui aiment l’amour… sans filtre Instagram !
Cette suite peut tout à fait se lire indépendamment !
Née en 1944, Katarina Mazetti est journaliste. Auteur de livres pour la jeunesse et de romans pour adultes, son premier roman pour adultes Le Mec de la tombe d’à côté (1998) a été traduit en de nombreuses langues. Le Caveau de famille en est la suite. Son œuvre est publiée en France par les éditions Gaïa.
19 déc. 2012
2011
Ils se sont aimés, ils y sont (presque) arrivés, ils vont réessayer... mais cette fois, en fondant une famille ! D’un côté Désirée, la bibliothécaire cérébrale et urbaine, de l’autre Benny, l’éleveur de vaches aux plaisirs simples. Elle lit pour vivre, lui vit pour traire. Un couple improbable, et pourtant... si l’amour était bien dans le pré ?
C’est le retour de l’attachant duo du Mec de la tombe d’à côté dans une suite aussi tendre que tranchante, aussi drôle que désarmante. On suit avec délectation la vie de Désirée et Benny, ce quotidien qui les rattrape, leurs aspirations qui divergent, la vie de famille qui les envahit.
Avec son style vif, piquant, parfois désabusé, Katarina Mazetti continue de nous faire rire jaune. Car en trame de fond, des sujets sérieux sont abordés : les difficultés bien réelles et l’épuisement d’un monde paysan, les dilemmes d’une mère qui cherche à s’épanouir en tant que femme et, bien sûr, les compromis du vivre ensemble.
On s’attache, on grince, on rit et surtout, on s’y reconnaît un peu, beaucoup, passionnément. Pétillant, caustique et résolument humain, une comédie de mœurs où la famille se construit… dans tous les sens du terme !
« -Je me demande si tu m'as jamais aimée, a-t-elle reniflé quand je me suis permis quelques commentaires sur son planning ce jour-là. En tout cas, il est évident que tu ne m'aimes plus. Tu ne me vois que comme une stagiaire incapable qui serait en apprentissage chez toi.
Comment ça, « aimée », qu'est-ce qu'elle veut dire ?
Les femmes parlent d'amour et se rappellent les anniversaires de mariage et la Saint-Valentin et elles se pendent à votre cou et demandent si vous les aimez. Bengt-Göran, lui, il a acheté de nouvelles jantes à Violette et moi, putain, j'ai quand même construit la véranda !
Je crois qu'il en va de l'amour des hommes comme de l'infarctus des femmes. Il n'est jamais détecté, parce qu'il a de tout autres symptômes ! »
Amour – vie de famille – agriculteur – ironie – maternité – épanouissement – compromis de couple
Un duo qu’on adore et qui exprime tour à tour ses sentiments par la voie d’un livre choral – une vision de la maternité - un ton juste et mordant qui gratte là où ça fait mal
À lire pour celles et ceux qui aiment l’amour… sans filtre Instagram !
Cette suite peut tout à fait se lire indépendamment !
