
Le livre pourrait commencer avec la célèbre phrase de Mandela : Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends. Enrico Metz, homme...
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NOTES DES LECTEURS
Cette situation, elle pourrait arriver à n’importe qui.
Un jour, sans vraiment prévenir, cet homme se retrouve à la rue et il nous raconte son nouveau quotidien. En revanche, cet homme ne pourrait pas ÊTRE n’importe qui. Car il affronte ce nouveau chapitre de sa vie avec résilience et pragmatisme. Sans mélo, il fait face, seul, au jour le jour, il assume ses erreurs, il résiste après un faux départ, comme un instinct de survie.
Et pourtant, c’est un grand écart. Lui, le Dandy, l’ancien galeriste parisien huppé. Certes, il y a cette femme, Madame M. sa bonne fée comme il l’appelle, qui l’aide, le sauve même.
Ce texte autobiographique n’est curieusement pas triste. On se régale des formules de l’auteur, de sa faculté à se moquer de lui-même dans ces situations parfois si loufoques. Finalement, on a pris beaucoup de plaisir à suivre ces jours de dèche, Didier Delome a l’art de raconter des petits riens.
Un très beau texte et une lueur d’espoir qui le mènera à l’écriture pour notre plus grand plaisir.
« Mon unique luxe après l’encaissement de ma prime exceptionnelle consiste à demeurer dans les nouvelles limites de mon budget ; soit : 10 euros quotidiens. Pas un centime de plus. Quelle que soit la nécessité de l’achat guigné. Et je m’en sors plutôt bien. Sans privations excessives, ni jamais, sous aucun prétexte, empiéter sur le budget du lendemain. Sinon ce serait le premier pas sur la pente fatale du déficit chronique et de l’endettement. Je vis déjà au jour le jour, je ne vais pas en plus vivre à crédit. J’aurais alors la sensation de subsister en dessous du niveau de la mer. À une altitude négative en somme où il me semble que l’atmosphère serait irrespirable. Du moins pour moi. »
SDF – chômage – résilience – persévérance – atmosphère – dépression – solitude – satire sociale
L’ambiance très visuelle – le vocabulaire – l’humour pince sans rire
Dans un RER, collé à la fenêtre, en regardant les villes périphériques passer...
Didier Delome est né en 1953. Ancien galeriste parisien, il a aiguisé sa plume au cours d'une carrière de journaliste qui lui a fait découvrir les cinq continents. Son premier roman Jours de dèche (Le Dilettante) est publié en 2018.
31 août 2018
4 sept. 2018
sept. 2018
18 sept. 2018
Cette situation, elle pourrait arriver à n’importe qui.
Un jour, sans vraiment prévenir, cet homme se retrouve à la rue et il nous raconte son nouveau quotidien. En revanche, cet homme ne pourrait pas ÊTRE n’importe qui. Car il affronte ce nouveau chapitre de sa vie avec résilience et pragmatisme. Sans mélo, il fait face, seul, au jour le jour, il assume ses erreurs, il résiste après un faux départ, comme un instinct de survie.
Et pourtant, c’est un grand écart. Lui, le Dandy, l’ancien galeriste parisien huppé. Certes, il y a cette femme, Madame M. sa bonne fée comme il l’appelle, qui l’aide, le sauve même.
Ce texte autobiographique n’est curieusement pas triste. On se régale des formules de l’auteur, de sa faculté à se moquer de lui-même dans ces situations parfois si loufoques. Finalement, on a pris beaucoup de plaisir à suivre ces jours de dèche, Didier Delome a l’art de raconter des petits riens.
Un très beau texte et une lueur d’espoir qui le mènera à l’écriture pour notre plus grand plaisir.
« Mon unique luxe après l’encaissement de ma prime exceptionnelle consiste à demeurer dans les nouvelles limites de mon budget ; soit : 10 euros quotidiens. Pas un centime de plus. Quelle que soit la nécessité de l’achat guigné. Et je m’en sors plutôt bien. Sans privations excessives, ni jamais, sous aucun prétexte, empiéter sur le budget du lendemain. Sinon ce serait le premier pas sur la pente fatale du déficit chronique et de l’endettement. Je vis déjà au jour le jour, je ne vais pas en plus vivre à crédit. J’aurais alors la sensation de subsister en dessous du niveau de la mer. À une altitude négative en somme où il me semble que l’atmosphère serait irrespirable. Du moins pour moi. »
SDF – chômage – résilience – persévérance – atmosphère – dépression – solitude – satire sociale
L’ambiance très visuelle – le vocabulaire – l’humour pince sans rire
Dans un RER, collé à la fenêtre, en regardant les villes périphériques passer...
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