
Polar – humour – épicurien – décalé – détective privé - banditisme
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NOTES DES LECTEURS
Sans le sou, Oded Héfer, gay assumé parlant de lui au féminin, s’improvise détective privé dans sa ville de Tel Aviv. Mais voilà que la toute première enquête qu’on lui confie se révèle surdimensionnée au regard de son inexpérience : l’une des femmes d’affaires les plus en vue d’Israël vient de décéder, et tout porte à croire qu’il ne s’agit pas d’un suicide… Qu’à cela ne tienne : armé de son culot et d’un humour sarcastique, Oded décide de mener l’enquête coûte que coûte, et rien ne l’arrêtera.
L’intrigue est menée tambour battant et le personnage principal (et narrateur) est tout simplement irrésistible ! Il porte un regard sans concession sur lui-même et sur la société de Tel Aviv dans ses aspects les moins reluisants.
Ce polar truculent et rythmé renouvelle les codes du genre tout en portant un regard décalé sur la société israélienne, sa diversité, ses contradictions… Un pur régal !
« En ces temps difficiles, un détective privé dans un bureau vide et zéro client ne peut pas se payer le luxe de faire la fine bouche. Comme disait ma grand-mère : même avec beaucoup d’amour, l’épicier ne te fait pas crédit. Surtout pas à un chômeur de trente-cinq ans dans une économie en pleine récession, et à qui les parents ont décidé de couper les vivres. Quant à l’inflation du prix des shawarmas, n’en parlons pas. »
Polar – queer - Tel Aviv - détective privé - humour
Le sens de l’intrigue – l’humour – le personnage principal savoureux et attachant –les personnages secondaires tout en épaisseur : policier haut en couleur, noctambules, membres de la jeunesse dorée…
Le livre parfait pour se remonter le moral et penser à autre chose… tant on est embarqué dans l’intrigue !
Malgré ses 480 pages, ce livre semble trop court tant on apprécie la compagnie du narrateur !
Yonatan Sagiv est né en 1979 en Israël. Titulaire d’un doctorat d’études juives de New York University, il est spécialiste de l’œuvre du prix Nobel de littérature israélien Shmuel Yosef Agnon.
Après avoir vécu une quinzaine d’années à New York et à Londres, il s’est réinstallé à Tel-Aviv en juin 2021.
Secret de Polichinelle, son premier roman é été publié en 2019. Le second volet des aventures policières d’Oded Hefer, Le Silence est d’or, est sorti en 2022, également aux Éditions de l’Antilope.
nov. 2019
Le polar israélien a déjà brillé en France: Dror Mishani, Batya Gour, Liad Sho- ham, Shoulamit Lapid, Dov Alfon ont tissé des romans brutaux qui tournaientautour du problème palestinien, des méfaits du Mossad, des ambiguïtés de la colonisation... Avec Yonatan Sagiv, nous nous envolons vers d'autres horizons. Homosexuel assumé, détective débutant, Oded Héfer se voit confier par une riche business woman l'enquête sur le suicide de sa sœur, auquel elle ne croit pas. C'est le prétexte pour plonger dans la pétaradante Tel-Aviv, envers déluré de la sinistrement religieuse Jérusalem. L'auteur nous ouvre ainsi avec humour les portes d'une société très gay friendly dominée par l'argent et l'affairisme. Quelque part entre Les Chroniques de San Francisco et les romans gays de Joseph Hansen.
12 nov. 2019
Fraichement reconverti en détective privé, Oded Héfer, 35 ans, doit enquêter, pour sa première affaire, sur la mort de Smadar Tamir. Le corps de cette riche femme d'affaires israélienne a été retrouvé au pied de l'hôpital où elle venait d'être opérée d'un cancer incurable. Meurtre ou suicide ? Oded, célibataire homosexuel et fantasque, va passer au crible l'entourage de la victime, dont son ex- mari, qui fut l'associé et le commandant du jeune homme pendant son service militaire. Cette plongée dans le monde des magnats de Tel-Aviv offre un récit mordant sur l'univers LGBT israélien, divisé entre ceux qui assument leur sexualité et les autres, rongés par des secrets trop lourds à porter. Yonatan Sagiv y brocarde aussi avec un humour décapant la gentrification d'une ville, Tel-Aviv, au détriment de son emblématique convivialité.
19 dec. 2019
Avec son héros gay et détective en herbe, Yonatan Sagiv livre un premier roman aussi noir que drôle, qui joue avec de nombreux codes du polar classique. Pour 140 shekels (36 euros), Oded Héfer s’est procuré sur Internet un certificat officiel de détective privé et un diplôme de docteur en criminologie de l’université hébraïque de Jérusalem, qu’il a placardés sur la porte de son bureau, à Tel Aviv. Il n’avait pas d’autre choix. A 35 ans, il est chômeur et ses parents lui ont coupé les vivres. Car il ne correspond pas vraiment à ce qu’ils attendaient d’un fils. Oded Héfer parle de lui au féminin et ne résiste pas à un beau garçon. Les codes du roman noir américain s’arrêtent donc à la plaque de détective. Nulle blonde plantureuse pour lui apporter le café ni volutes de cigare embrumant la pièce. La meilleure arme de ce détective hors du commun, c’est l’intelligence et l’humour. Le jour où une riche héritière israélienne pousse la porte de son bureau, il ne laisse pas passer sa chance. Elle veut qu'il enquête sur le pseudo-suicide de sa sœur. Celle-ci se serait jetée par la fenêtre d'un hôpital de Tel Aviv où elle était soignée pour un cancer en phase terminale. Sauf qu'elle n'était pas du genre à en finir volontairement avec la vie, plutôt une tueuse qu'une victime (...)
L’enquête est difficile, on s’y perd parfois un peu, mais Oded Héfer est tellement drôle que ça nous est bien égal. Et efficace avec ça, il parvient à déjouer toutes les chausse-trapes. Le suspense va donc tenir jusqu’au bout. (…)
nov. 2019
(...) Plus de 470 pages savoureuses au suspens haletant, dans une langue fleurie et directe maniant l’argot, un parler populaire riche et imagé. Voilà de quoi se réjouir d’un premier roman qui promet… Le héros, Oded Ofer, qui parle à la première personne et au féminin, s’improvise détective privé, sans formation, ni diplôme, ni clients, afin de gagner sa vie. Mais c’est sans compter sur son intelligence, sa finesse d’analyse et une clairvoyance à toute épreuve pour élucider un meurtre déguisé en suicide. Secret de Polichinelle, au-delà d’être un brillant roman policier aux 1.000 rebondissements et intrigues, plonge le lecteur dans le monde huppé et vicié de l’argent, du pouvoir et de la corruption de la « hight society » de Tel Aviv. (...)
L’auteur a le génie de brouiller constamment les pistes, de nous entraîner dans des certitudes qui nous échappent aussitôt, et surtout de nous faire participer à son enquête, à ses tatonnements, à ses déductions parfois limpides, à ses découvertes que l’on suit avec exaltation et impatience tout au long du roman. Et comme pour beaucoup de romans policiers, le sexe est présent, et l’attirance homosexuelle, la séduction, la vengeance et les mensonges forment la trame de ce livre aux multiples facettes. Vous ne le lâcherez plus, pour votre plus grand plaisir.
Marguerite n'aime pas ses fesses
Erwan LarherSans le sou, Oded Héfer, gay assumé parlant de lui au féminin, s’improvise détective privé dans sa ville de Tel Aviv. Mais voilà que la toute première enquête qu’on lui confie se révèle surdimensionnée au regard de son inexpérience : l’une des femmes d’affaires les plus en vue d’Israël vient de décéder, et tout porte à croire qu’il ne s’agit pas d’un suicide… Qu’à cela ne tienne : armé de son culot et d’un humour sarcastique, Oded décide de mener l’enquête coûte que coûte, et rien ne l’arrêtera.
L’intrigue est menée tambour battant et le personnage principal (et narrateur) est tout simplement irrésistible ! Il porte un regard sans concession sur lui-même et sur la société de Tel Aviv dans ses aspects les moins reluisants.
Ce polar truculent et rythmé renouvelle les codes du genre tout en portant un regard décalé sur la société israélienne, sa diversité, ses contradictions… Un pur régal !
« En ces temps difficiles, un détective privé dans un bureau vide et zéro client ne peut pas se payer le luxe de faire la fine bouche. Comme disait ma grand-mère : même avec beaucoup d’amour, l’épicier ne te fait pas crédit. Surtout pas à un chômeur de trente-cinq ans dans une économie en pleine récession, et à qui les parents ont décidé de couper les vivres. Quant à l’inflation du prix des shawarmas, n’en parlons pas. »
Polar – queer - Tel Aviv - détective privé - humour
Le sens de l’intrigue – l’humour – le personnage principal savoureux et attachant –les personnages secondaires tout en épaisseur : policier haut en couleur, noctambules, membres de la jeunesse dorée…
Le livre parfait pour se remonter le moral et penser à autre chose… tant on est embarqué dans l’intrigue !
Malgré ses 480 pages, ce livre semble trop court tant on apprécie la compagnie du narrateur !
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